Zohra Milleret a aujourd’hui 38 ans, elle a d’abord été commerciale sédentaire dans l’industrie,puis a ouvert avec son mari, et c’est toujours d’actualité, une entreprise de sondes de température pour les machines industrielles. Elle partage ses journées entre ce travail et son activité au cabinet. Actuellement, elle est aussi en formation formation de Naturopathe pour compléter son activité de luxopuncture qu’elle exerce depuis moins d’un an. Ses spécialités : acupuncture par infrarouge, praticienne REIKI et aromathérapeute, conseillère en fleurs de Bach.
Autres spécialités: praticienne REIKI et aromathérapeute, conseillère en fleurs de bach.
Zohra précise sur cette méthode thérapeutique encore peu connue pour beaucoup : “la luxopuncture (acupuncture par infrarouge) nécessite un gros investissement (9000 €) pour la machine, mais la formation est très rapide. L’aromathérapie et les fleurs de Bach ont été plus raisonnables d’accès car j’ai passé ma formation en e learning via l’Ecole Française d’Aromathérapie, et le REIKI j’ai du faire un investissement de plusieurs centaines d’euros.”
Elle avoue que démarrer pour se faire connaître a été très difficile, le bouche à oreille est très long même avec une bonne pub, elle a utilisé Facebook, Instagram, Publicité papier, démarchage CE, site internet etc…
Zohra Milleret précise son public et ses domaines d’intervention: “Mon public est mixte et pour différents domaines: perte de poids, relaxation, arrêt du tabac avant tout. Ensuite le reiki ,l’aromathérapie et les fleurs de Bach”.
Une séance se déroule ainsi: “Pour la luxopuncture, j’ai un questionnaire sur les antécédents médicaux et comportementaux à remplir avec le consultant ensuite je pratique la séance à l’aide d’un stylet infrarouge. L’aromathérapie et fleurs de Bach, j’e procède de la même façon: un questionnaire à remplir avec le consultant et ensuite je l’aide en lui proposant un mélange personnalisé”.
L’humain toujours au coeur de ses activités
Dans la relation avec les personnes, Zohra apprécie le côté social, le fait de rencontrer des personnes venues de tous horizons : “c’est très enrichissant, j’ajouterai que le fait de les aider à se sentir mieux me donne beaucoup de satisfaction. Une expérience: lors d’un traitement avec une consultante le courant et tellement passé qu’une amitié s’est développée. Pour pratiquer ce métier, Il faut aimer les gens, être patient, à l’écoute mais sans jugement, empathique mais pas trop non plus”.
Aux thérapeutes qui veulent démarrer, Zohra confie que c’est un domaine très enrichissant socialement, qui permet de partager et vivre des moments tellement forts que parfois juste le fait de pratiquer suffirait “s’il n’y avait pas toutes ces factures à payer !”.