Le Syndicat National des Praticiens et Enseignants de Reiki rejoint Resalib

Nouveau partenariat avec le S.N.P.E.R pour fiabiliser les profils Resalib des praticiens et des enseignants Reiki.

aperçu annuaire praticiens reiki du SNPER

Beaucoup des praticiens appartiennent à un syndicat professionnel, une organisation qui accompagne et protège ses membres et apporte une garantie sur le sérieux du professionnel aux utilisateurs du site Resalib. Afficher son appartenance à un syndicat, c’est le petit plus indéniable qui donne confiance en une discipline et ses praticiens dans le vaste univers du bien-être et de la santé. Resalib améliore ainsi son dispositif pour fiabiliser les profils des praticiens Reiki et fidéliser ses milliers d’utilisateurs qui continuent à leur faire confiance.

photo prestation reiki

Le S.N.P.E.R. est une organisation à part entière. Retrouvez son statut, ses engagements, ses missions sur : https://www.snper.org/quelle-sont-les-vocations-dun-syndicat/. Ce syndicat fédérateur pour les praticiens et enseignants en Reiki, qui les informe et les protège, qui les aide juridiquement ou à se former, va rejoindre les autres syndicats partenaires de Resalib.

Les nouveautés sur Resalib pour les praticiens Reiki

Le badge sur le profil

logo SNPER

Sur un profil où le visiteur doit repérer rapidement un maximum d’informations, “l’habillage” de la page est primordial. Le profil affiche ainsi un maximum d’informations essentielles sur le praticien : la certification Resalib (qui garantit une vérification par nos équipes), les spécialités, les photos, la description, les diplômes et formations, les badges (appartenance à une fédération ou un syndicat) et enfin une note reprenant ses avis clients. Le S.N.P.E.R disposera donc d’un badge activable et visible pour chaque profil Resalib d’un praticien adhérent !

L’annuaire dédié

En plus du référencement sur Resalib, vous retrouverez également tous les praticiens du S.N.P.E.R dans un annuaire dédié.

Interview de la fondatrice du S.N.P.E.R

Edith GAUTHIER, Maître praticienne de Reiki, auteure et présidente du Syndicat.

portrait gauthier

Quand et pour quelles raisons avez-vous ressenti le besoin de créer le S.N.P.E.R. ?
E.G. : C’était il y a environ 4 ans, en discutant avec d’autres enseignants de Reiki le fait qu’il était urgent, voire indispensable de créer un syndicat afin de prévoir l’avenir : obtenir le RNCP, la reconnaissance comme profession. En cela il fallait fédérer les praticiens et enseignants sous une même bannière, le nombre pesant lourd dans la balance. D’autre part, un syndicat est le moyen de connaître les lois qui régissent nos pratiques, nos obligations et nos devoirs afin de rester dans la légalité et ainsi assurer la sécurité psychologique et physique des personnes qui viennent à nous.

Par quels arguments fédérez-vous vos adhérents ?
E.G.
: Appartenir à un syndicat est une garantie de sérieux, car nous dépendons et sommes protégés par l’Etat, déclarés en Mairie, et pouvons représenter un adhérent au tribunal. Un syndicat ne juge pas des pratiques ou des gestes, ou du bien fondé des différentes écoles Reiki, cela est réservé aux associations et aux fédérations, mais du cadre dans lequel on officie. Par exemple : le syndicat des ébénistes ne va pas aller regarder le style employé ni la nature ou la marque des outils !
Nous offrons à nos adhérents des avantages préférentiels négociés pour eux : assurances, médiation et autres projets… comme une carte de France avec leur nom.
Nous disposons aussi de 2 avocates référentes, à qui on peut poser des questions dans un premier mail gratuit.

Pensez-vous que le syndicat a permis de mieux cadrer/encadrer les activités autour du Reiki ?
E.G. :
Tout à fait. Beaucoup ignoraient que l’assurance était obligatoire, et aussi l’appartenance à un organisme de médiation. Nous conseillons aussi sur les différentes possibilités pour se déclarer comme entreprise : micro entrepreneurs, portages salarial etc…
Le but est de montrer le sérieux de ces pratiques complémentaires et non alternatives et pour cela nous travaillons sur la mise en place d’une « école préparatoire aux métiers de l’énergétique et du Reiki ». afin que les différentes écoles aient un socle commun, un référentiel sérieux sur lequel s’appuyer.

Est-ce que cela répondait également à une demande des pratiquants ?
E.G :
Absolument, beaucoup se sentaient très isolés, et souhaitaient un organisme « neutre » quand aux pratiques des différentes écoles de Reiki, Occidentales ou Japonaises.

Quelle marche à suivre pour un pratiquant qui se perd dans l’offre de professionnels du Reiki ? Quelques conseils pour choisir ? 
E.G : Si c’est un pratiquant, il a déjà choisi. Si c’est une personne en recherche : bien lire le site, et surtout rencontrer la personne avant de s’engager sur un enseignement ou des séances. C’est au feeling ou par le bouche à oreille, ou voir le site du praticien qui souvent est parlant.

Qu’attendez-vous de ce nouveau partenariat avec Resalib ?
E.G. : Que les adhérents du Syndicat aient une meilleure visibilité et des outils de travail performants : « L’union fait la force »

Enfin, nous essayons de sortir d’une crise sanitaire sans précédent, quel soutien le Reiki peut-il apporter aux personnes très marquées par cette pandémie ?
E.G. : Il y a beaucoup de possibilités, le Reiki avant tout est un art d’accompagnement, de régulation du stress. Les praticiens et enseignants peuvent apporter leur secours par l’écoute. Le confinement a permis de mettre en pratique les possibilités de la pensée et de l’efficacité de l’intention hors présence. La dynamique quantique nous l’expliquent par les ondes scalaires et l’intrication, nous comprenons alors mieux la réalité scientifique et donc la possibilité d’aide à distance : séances ou formations, pour ceux qui en ont l’élan, avec les outils contemporains du net, vidéo-conférences, whatsapp, tel, etc…Ce qui ne fait pas concurrence au présentiel, mais qui permet de s’adapter aux circonstances sans abandonner des personnes en difficulté .