Céline Aurimond explique que l’hypnose intégrative (elmanienne, ericksonienne, conversationnelle…) et le magnétisme sont ses deux grands axes de travail : “ Ils se nourrissent également, à chaque séance, de connaissances et pratiques complémentaires venues de la méditation, du yoga, de l’art-thérapie, de la PNL, de la sophrologie, de la psychologie, de la systémie et de la psychothérapie. Par ailleurs, je suis spécialement formée en périnatalité, en enfants & ados, poids & tabac, mais aussi en hypnose profonde et spirituelle”.
“Rien de tel que de se rencontrer, s’occuper de soi, aller à l’intérieur de soi pour découvrir de nouveaux chemins. J’accompagne avec douceur, bienveillance et créativité les adultes, les enfants et les adolescents.”
“Sensible au pouvoir des pierres et de la méditation”
Céline Aurimond a 39 ans. Elle revient sur son histoire pour devenir hypnothérapeute, “Une longue histoire”, dit-elle : “Enfant, j’ai été confrontée à bien des problématiques d’attachement, de lien et de transmissions destructrices. J’ai grandi malgré mes blessures, trouvé refuge dans l’art, dans l’expression de ma sensibilité, dans la rencontre avec les autres, puis dans la thérapie. J’ai eu à cœur de voyager, explorer, extérieurement et intérieurement, très vite…”.
Puis elle est devenue enseignante, de lettres, l’une de ses grandes passions initiales : “Là encore, en miroir ou non, j’ai pu observer la fragilité et la force de certaines âmes, constater ma joie à écouter, aider, faire grandir mes élèves. Sensible au pouvoir des pierres et de la méditation, alors transmis par des proches, je me suis naturellement engagée dans ce chemin pour moi-même, puis pour les autres”.
“Je suis dans l’Eure, où l’on prend encore le temps…”
À présent Maître praticienne en hypnose elmanienne et ericksonienne (formée par une école de qualité, Ellipsy), énergéticienne (auprès de Charlotte Daynes entre autres), elle accompagne les enfants, les adolescents et les adultes dans leur évolution, vers un mieux-être, qu’il s’agisse d’un changement lié à une problématique précise ou d’ordre plus général. Elle est installée dans l’Eure, au sud-ouest d’Evreux :
“Je suis partie de la région parisienne il y a quelques années pour avoir mes enfants et trouver un rythme qui me convenait mieux. J’habite donc un endroit où l’on prend encore le temps (même si, comme partout, c’est de plus en plus difficile…) et où on peut faire de la place à l’intériorité. Par contre, il me semble qu’il existe encore une certaine méfiance locale, ce qui est dommage, mais compréhensible. Les choses bougent petit à petit. Il s’agit aussi d’aller de l’agriculture, la culture de la terre, à la culture tout court”.
Son approche : “Écouter, très attentivement, comprendre, et travailler avec le coeur, en toute justesse : cela signifie respecter profondément le souhait de chacun-chacune, le rythme d’avancée ainsi que ses capacités et ses limites. Pour moi, ce qui doit se faire se fera”.
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Qu’aimez-vous dans votre pratique ? Qualités nécessaires ? Sensibilité, atouts ?
“J’aime travailler avec l’essentiel, le plus intime. J’aime offrir un cadeau à l’autre, d’une certaine façon. J’aime rencontrer l’enfant qu’il ou elle était. Je pense que l’adaptation, la véritable bienveillance, la sensibilité, la finesse, l’intuition et la créativité aident beaucoup”.
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